L'année 1998-1999 a été marquée par plusieurs réalisations au plan de la recherche à l'UQO. D'abord, l'Université a poursuivi ses efforts en vue de créer des partenariats avec des organismes et des entreprises de la région de l'Outaouais, dont, à titre d'exemple, un protocole signé avec le Centre hospitalier Pierre-Janet portant sur la recherche en santé mentale.
L'UQO a aussi décerné une toute première accréditation institutionnelle à un groupe de recherche, soit le Groupe d'études et de recherche en intervention sociale (GÉRIS). De plus, elle a mis sur pied le Comité d'éthique de la recherche, chargé d'assurer
l'évaluation de la dimension éthique des projets de recherche et d'élaborer la Politique d'éthique de la recherche avec des êtres humains.
L'Université a également été l'hôte de plusieurs événements importants sur le plan de la recherche. La 11e édition des Journées Richard-Laurendeau a attiré près de 250 intervenants dans le domaine de la santé mentale en Outaouais. D'autre part, l'UQO a accueilli plus de 300 intervenants en psychoéducation venus assister à un colloque spécialisé en octobre 1998.
Par ailleurs, un colloque international intitulé Travail social et Empowerment à l'aube du XXIe siècle a permis à l'UQO de souligner le rythme de croisière atteint par le programme de maîtrise en travail social. De plus, en mars 1999, le Département de travail social a aussi procédé au lancement d'un numéro international de la revue Économie et Solidarités, édition conçue et produite à l'UQO, qui est devenu le nouveau siège social de cette revue scientifique.
Enfin, l'Université a enregistré une augmentation du montant total de subventions en provenance d'organismes subventionnaires, ce qui a permis aux professeurs de se partager plus d'un million de dollars pour réaliser leurs projets de recherche. Malgré les compressions budgétaires, l'Université a quant à elle réussi à maintenir le niveau de financement qu'elle consacre à la recherche par l'entremise du Fonds institutionnel de recherche.
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